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Bibliothèque

 

La Bibliothèque Julien Gracq réouvre le samedi 6 mars 2021 

Après de longs mois de travail, l’équipe de bénévoles est prête pour vous accueillir 

 


1 rue du Moulin à Argol 
Mail : argol.bibliotheque@gmail.com
 

Le lundi de 16h00 à 18h00
Le mercredi de 10h00 à 12h00
Le samedi de 10h00 à 12h00


La récupération de dons des particuliers et des professionnels, a été suivie d’un inévitable tri pour construire un fonds de livres qui puisse satisfaire un public varié. 
Le choix des ouvrages proposés est plus large que précédemment et s’offre au plus grand nombre. Adultes et jeunes devraient y trouver leur compte. 
Il a fallu ranger, référencer, classifier, profiter de la circonstance pour ré-informatiser. Un nouveau logiciel, moderne, fonctionnel et performant permettra aux adhérents de consulter le catalogue à distance et de réserver des ouvrages. 

Pour atteindre le plus grand nombre, le prix des adhésions (10€ par famille) reste inchangé   

Nous espérons vous accueillir bientôt et nombreux.
 

 


Bibliothèque Julien Gracq 

Julien Gracq, de son vrai nom Louis Poirier, né le 27 juillet 1910 à Saint-Florent-le-Vieil (Maine-et-Loire) et mort le 22 décembre 2007 à Angers, était un écrivain français.

Au château d'Argol, roman de Julien Gracq est publié en 1938.

Ce roman est le premier de Gracq, écrit pendant l'année 1937. D'abord envoyé aux éditions Gallimard, il est refusé. Gracq (qui adopte ce pseudonyme pour la parution du roman) le propose alors à l'éditeur José Corti, qui l'accepte et le publie en janvier 1938. Le roman, relativement court, se concentre sur les rapports de trois personnages : Albert, Herminien et Heide. Albert ayant acheté le mystérieux château d’Argol, en Bretagne, il y reçoit la visite de son meilleur ami Herminien, qui arrive accompagné de la belle Heide. Entre ces trois personnages se tissent des rapports d’amour et de haine qui conduisent, sur fond de références à Parsifal, au viol, puis au suicide de Heide et à l’assassinat d’Herminien par Albert.

Si "Au château d'Argol", son premier roman, fortement influencé par le romantisme noir et par le surréalisme, avait attiré l'attention d'André Breton, c'est avec Le Rivage des Syrtes, et surtout le spectaculaire refus de son auteur de recevoir le prix Goncourt en 1951, que Julien Gracq s'est fait connaître du public. Reconnaissance paradoxale pour cet écrivain discret qui s'est effacé derrière une œuvre protéiforme et originale, en marge des courants dominants de la littérature de son époque (voire en opposition), qu'il s'agisse de l'existentialisme ou du nouveau roman. Après avoir abandonné l'écriture de fiction, Julien Gracq publie à partir de 1970 des livres qui mélangent bribes d'autobiographie, réflexions sur la littérature et méditations géographiques.

Traduites dans vingt-six langues, étudiées dans des thèses et des colloques, proposées aux concours de l'agrégation, publiées de son vivant dans la bibliothèque de la Pléiade, les œuvres de Julien Gracq ont valu à leur auteur une consécration critique presque sans équivalent à son époque.

Dans la réalité, le château d'Argol  n'existe pas, uniquement sur la couverture du livre. Il reste le mystère sur le choix de ce nom. Julien Gracq en a eu l'idée en voyant le nom d'Argol sur une carte en faïence de l'ancienne gare de Quimper. Le plus surprenant est que Julien Gracq ne soit jamais venu à Argol.

 

 

Coordonnées
MAIRIE ARGOL - Place des Anciens Combattants - 29560 ARGOL - Tél. : 02 98 73 54 02 - Fax : 02 76 34 17 59 -